Oeuvre en salle, 1992

«Un cheval universel, il a cela dans le sang. Il est comme hésitant, perdu, désintéressé. Cet animal-là laisse derrière lui terre et poussière et disparaît aux regards.» — Zhong-Zi, Le vrai livre du Pays du Sud en fleurs.

Vers le haut pays s'inspire de la puissance poétique des paysages glacés du Grand Nord. Cette pièce met en scène un personnage solitaire dont l'errance, comme celle d'un animal, est guidée par les forces de la nature. Le langage gestuel traduit une impression d'immobilité et de silence. La scénographie fait référence à l'art cinématographique et pictural: elle dirige le regard du spectateur, lui donnant l'impression d'une ouverture sur l'infini.


Presse

Les images qui s’offrent à nous sont d’une beauté saisissante.
— La Presse, Montréal, mars 1992

L’interprète que nous voyons devant nous s’incarne totalement, devient un véritable personnage au caractère éminemment théâtral [...] Lucie Grégoire poursuit sa démarche avec audace et une grande intelligence.
— Voir, Montréal, mars 1992

 

 

ÉQUIPE DE CRÉATION

Chorégraphe et interprète
Lucie Grégoire

Conseillère artistique
Julie West

Musique originale
Maurice Bouchard

Scénographie
Marc-André Coulombe

Éclairage
Marc Parent

Costume et maquillage
Angelo Barsetti

Photographie
Jacques Perron

Vers le haut pays
Vers le haut pays
Vers le haut pays
Vers le haut pays
Vers le haut pays
Vers le haut pays
Vers le haut pays
Vers le haut pays
Vers le haut pays
Vers le haut pays
Vers le haut pays
Vers le haut pays
Vers le haut pays
Vers le haut pays
Vers le haut pays
Paysage
Inspiration de l'oeuvre Vers le haut pays