Fragile lumière

Dans un désert de vent, trois femmes s'abandonnent à leur destin, entre le désir de prendre racine et l'appel du voyage. Les rythmes empruntés aux danses traditionnelles viennent scander l'immobilité d'un temps suspendu. Peu à peu, chacune se laisse emporter par le plaisir même de danser. Et l'attente fait place à la fête, une fête inspirée de rituels oubliés.

Presse

Lucie Grégoire sait mettre en scène. Elle qui pendant dix ans a cherché les façons de faire dire aux corps ce qu’elle ne voulait dire en mots, réussit dans Fragile lumière à créer des tableaux d’une grande force évocatrice. Cette joie ressentie par les femmes qui se préparent à faire la fête, on la ressent aussi. On a envie d’y prendre part, de les rejoindre, là où elles sont, faisant fi des conventions.
— Le Devoir, Montréal, février 2000